En Chine, il est un endroit encore plus incontournable que la grande muraille et il est de mon devoir de vous le présenter.
La nature n'étant pas toujours bien faite, il vous sera impossible d'y réchapper et il faudra, à un moment donné, affronter la dure réalité, celle des chiottes !
Tout avait pourtant très bien commencé, à Hong Kong. Mais, comme je le disais dans un article précédent : « Hong Kong, est-ce la Chine ? ». Ici, pour la première fois de notre vie, nous avons découvert avec stupéfaction le PQ plié en pointe, les préposés à l'ouverture du robinet, le savon qui sent bon, le parfum, le lait hydratant pour mains sensibles et les serviettes éponges individuelles... Cette expérience s'est renouvelée à Shanghai, dans les toilettes d'un grand hôtel, où j'ai même surpris une employée en flagrant délit de pliage de PQ en pointe !
Hélas, la dure réalité de la vie nous a rattrapés alors que nous ne nous y attendions pas. C'est à la gare de Lizhou que nous avons eu la joie de tester nos premières toilettes chinoises ! Ce sont des petits box qui montent à hauteur de taille. Il y a une ouverture sur un côté (là où nous mettrions une porte). Chacun se soulage au-dessus d'une rigole et les déjections sont évacuées par un filet d'eau courante. On se trouve un peu comme à la queu-leu-leu, avec une cloison entre chaque personne. On n'aperçoit les gens que lorsque l'on jette un coup d’œil à l'intérieur pour voir si le box est libre. Connaissant l'existence de ces toilettes, j'avais peur d'être assise entre 2 personnes à qui j'aurais du faire la conversation mais finalement, je me suis sentie assez isolée.
Et puis, au fil du temps, on remise son besoin d'intimité au fond de sa tête et on apprend à découvrir ces « commodités », à en noter les différences, à les étudier, les classer... On apprend à écouter les mamies continuer leurs conversations, quand on se retrouve coincé entre deux d'entre elles ; on ne recule plus quand on se trouve face à une personne accroupie, on s'affirme et on s'installe dans son box ; on ne sort plus jamais sans son PQ et surtout, on partage ses déboires et expériences rigolotes avec les autres voyageurs !
Quelques photos pour vous donner une idée :
La nature n'étant pas toujours bien faite, il vous sera impossible d'y réchapper et il faudra, à un moment donné, affronter la dure réalité, celle des chiottes !
Tout avait pourtant très bien commencé, à Hong Kong. Mais, comme je le disais dans un article précédent : « Hong Kong, est-ce la Chine ? ». Ici, pour la première fois de notre vie, nous avons découvert avec stupéfaction le PQ plié en pointe, les préposés à l'ouverture du robinet, le savon qui sent bon, le parfum, le lait hydratant pour mains sensibles et les serviettes éponges individuelles... Cette expérience s'est renouvelée à Shanghai, dans les toilettes d'un grand hôtel, où j'ai même surpris une employée en flagrant délit de pliage de PQ en pointe !
Hélas, la dure réalité de la vie nous a rattrapés alors que nous ne nous y attendions pas. C'est à la gare de Lizhou que nous avons eu la joie de tester nos premières toilettes chinoises ! Ce sont des petits box qui montent à hauteur de taille. Il y a une ouverture sur un côté (là où nous mettrions une porte). Chacun se soulage au-dessus d'une rigole et les déjections sont évacuées par un filet d'eau courante. On se trouve un peu comme à la queu-leu-leu, avec une cloison entre chaque personne. On n'aperçoit les gens que lorsque l'on jette un coup d’œil à l'intérieur pour voir si le box est libre. Connaissant l'existence de ces toilettes, j'avais peur d'être assise entre 2 personnes à qui j'aurais du faire la conversation mais finalement, je me suis sentie assez isolée.
Et puis, au fil du temps, on remise son besoin d'intimité au fond de sa tête et on apprend à découvrir ces « commodités », à en noter les différences, à les étudier, les classer... On apprend à écouter les mamies continuer leurs conversations, quand on se retrouve coincé entre deux d'entre elles ; on ne recule plus quand on se trouve face à une personne accroupie, on s'affirme et on s'installe dans son box ; on ne sort plus jamais sans son PQ et surtout, on partage ses déboires et expériences rigolotes avec les autres voyageurs !
Quelques photos pour vous donner une idée :