Nous voici dans le bus pour Rio de Janeiro, attrapé de justesse ! Il nous tarde de découvrir cette ville tellement plébiscitée pour son effervescence !
Nous avons aussi un peu d'appréhension quant à la sécurité, décrite comme étant toute relative par notre guide du parfait petit voyageur... Finalement, nous avons passé ces 5 jours sans rencontrer de problème ni avoir de sensation d'insécurité :) Il faut toujours garder un œil sur ses effets et « todo bem ».
Rio de Janeiro comporte 2 lignes de métro (pas plus que Toulouse finalement) et un réseau de bus très développé qui a assuré la grande majorité de nos déplacements intra-muros (par contre, ça vous secoue bien la pulpe).
De nombreux logements sont disponibles dans tous les quartiers de la ville : pour notre part, nous avons élu domicile au "El Misti Hostel" à Botafogo. Ce quartier n'a pas d'intérêt touristique particulier, mais il est calme et bien placé (tous les bus et lignes de métro y passent) :) Par ailleurs, c'est un quartier peu cher. Quant à notre hostel il était simple mais propre et bien tenu : nous avons jeté notre dévolu sur un dortoir de 9 contenant 2 anglophones noctamburnes et un jeune brésilien très discret (les autres lits étant vides). Je n'ai pas fait de faute de frappe à hostel : c'est, en fait, une auberge de jeunesse où l'on peut dormir en chambre (simple ou double) ou en dortoir, on a accès à une cuisine et à un espace commun où l'on peut discuter et faire tout plein d'autres trucs (comme taper cet article par exemple) :) Mais revenons à nos moutons.
Ainsi nos sacs posés, nous voila donc parés pour affronter Rio de Janeiro la mythique !
Niveau visites, notre programme a été bien chargé.
Nous avons consacré une partie de notre premier jour à la visite du 'Centro'. Nous nous y sommes rendu en métro, assez moderne et bien entretenu. Notre promenade nous a permis de découvrir de nombreux monuments dont le magnifique théâtre, le cubique immeuble Petrobras, la très rococco église de Santo Antonio, perchée sur une butte au milieu des buildings, le Real Gabinete Português de Leitura où trônent pas moins de 350000 ouvrages en portugais, l'étrange cathédrale Metropolitana et le bohème escalier Selaron.
Nous filons ensuite prendre le téléphérique pour admirer le coucher de soleil sur Rio depuis le Pain de Sucre. C'est plutôt pas mal !
Le lendemain nous sommes allés voir de près le mythique « O Christo Redemptor » qui bien-veille sur Rio depuis sa montagne : la vue est moins impressionnante qu'au Pain de Sucre mais ça en impose quand même !
Nous avons ensuite filé prendre le chaotique tramway qui monte à Santa Teresa. Nous y avons rencontré Denilson et Marion, couple Brésilo-français, et un autre couple de brésiliens (qui trimballait avec eux et leur fils un correspondant américain ado-qui-fait-la-gueule-tout-le-temps). Ils nous ont proposé de les suivre. C'était agréable d'être accompagnés par des brésiliens qui connaissent le quartier : ils nous ont emmené dans des endroits où nous ne serions pas allés seuls (le LonelyPlanet nous dit de ne pas aller traîner n'importe où à la nuit tombée, et nous, pauvres petits baroudeurs débutants, l'écoutons de manière attentive. Bon, en même temps comme c'est l'hiver, les jours sont très courts et la nuit tombe tôt : vers 17h30). Nous avons bu une Caipirinha en terrasse où un groupe jouait de la Samba. Moment de détente agréable (oui, une des qualité de la Caipi est de bien vous détendre) :)
Nous avons entamé la journée du samedi avec la visite du jardin botanique puis nous avons longé le lagoa Rodrigo de Freitas, un lac où nous avons pu voir les fameux cygnes-pédalos (inspirés encore une fois par Delabatte, alias OSS 117 pour les connaisseurs...). Nous avons ensuite longé la plage d'Ipanéma. Elle est bordée de terrains de volley, de futevolley, et de plein d'équipements pour faire du sport. Voudrait-on nous faire croire que les cariocas sont sportifs ? Bon, sincèrement désolé mais je me sens obligé de casser ce mythe... Les cariocas ne sont pas tous (loin de là) des Apollons et des Vénus! Bon sinon, la plage est sympa... et bien protégée : la police y circule en quad et les résidences du quartier sont toutes barricadées et surveillées!
Notre dernier jour était consacré à la plage de Copacabana. Au programme : farniente, trempette et lecture (mon livre « L'Ombre du vent » est très bien mais du coup la fin va arriver beaucoup trop vite). J'ai acheté un paréo-drapeau du Brésil en guise de serviette de plage (c'est trop la mode ici).
Côté culinaire, la soirée pizza à l'auberge nous a laissés un peu barbouillés (c'est l'unique fois où notre estomac à toute épreuve nous a joué un tour minuscule... Chapeau, non?).
Nous avons découvert les salgados. Personnellement, j'adore ! Ce sont des beignets frits/tartelettes au fromage ou à la viande. C'est pas cher, bien gras et bourratif. (Qui a dit qu'on reviendrait mince et bronzés?)
A lagoa das Freitas, nous avons goûté le maïs bouilli entier que l'on grignote avec une sauce au beurre (comme dans les séries américaines). Nous y avons aussi dégusté un hot-dog très chargé : pain, saucisse, tomate, oignon, petit-pois, œufs de caille, raisin sec, maïs. Ça tient bien au corps...
Sur la plage, on a bu du coco gelado. C'est du lait de coco servi à même la noix avec 2 pailles : frais mais pas énormément de goût.
Pour terminer : la chapelure. On la mange apparemment ici comme un féculent. On en sert en bonne quantité avec la viande par exemple. Personnellement, je ne suis pas fan. C'est très sec et il n'y a pas beaucoup de sauce pour humidifier le tout :(
Voici maintenant un petit résumé de nos folles nuits cariocas.
Nous avons retrouvé Wolf (ami d'ami allemand, travaillant actuellement à Rio) et son amie Bebel (prononcer "Bébéou" - une carioca pure souche) à 2 pas de notre auberge pour aller à une soirée Festa Juninha. Cette fête traditionnelle se termine traditionnellement par un mariage (nous ne sommes pas restés assez tard pour le vérifier) et on y danse ce que j'appellerais la danse du tunnel (ressemblance très forte avec ce que l'on fait dans certains mariages : 2 par 2, les gens se tiennent les mains pour former un tunnel sous lequel passent d'autres personnes qui se placent ensuite au bout du tunnel pour le rallonger) et certains viennent déguisés plus ou moins en campagnards (les filles sont des campagnardes trèèès branchées! Et avec mes sandales, mon pantalon bouffant et mon T-shirt tortues d'Ilha Grande, j'ai l'air tâche... En même temps, dur d'être sexy quand on a toutes ses affaires sur son dos!). Bon, à part ces 3 points particuliers, ça ressemble comme 2 gouttes d'eau à une soirée étudiante mais avec une moyenne d'âge autour de 30 ans. Le lendemain, nous avons regardé avec Wolf, Bebel et quelques unes de leurs amies le match Brésil/Portugual dans un petit café de Laranjeiras (autre quartier de Rio).
Le samedi soir nous sommes allé à Lapa, quartier festif de Rio, pour tâter l'ambiance d'un club de Samba. Le "Democratico" nous avait été recommandé par l'auberge et nous y sommes arrivés vers 23h30 après avoir un peu tourné en rond. Nous avons payé moitié prix étant dans les 300 premiers arrivés ;) Oui, ça commence assez tard... La salle s'est remplie et l'orchestre a commencé à jouer vers minuit. Bon, l'ambiance n'est pas aussi folle que ce que nous nous imaginions mais on nous avait plutôt recommandé d'y aller le vendredi... Enfin bref, après avoir beaucoup observé nous nous sommes jeté à l'eau. Mais après quelques essais peu concluants de votre dévoué serviteur qui est un bien piètre danseur (encore plus avec des chaussures de rando) pour faire virevolter sa femme chérie, il s'est avoué vaincu et est sorti du ring.
Fin de notre épisode carioca. A bientôt pour de nouvelles aventures !!!
Rio de Janeiro comporte 2 lignes de métro (pas plus que Toulouse finalement) et un réseau de bus très développé qui a assuré la grande majorité de nos déplacements intra-muros (par contre, ça vous secoue bien la pulpe).
De nombreux logements sont disponibles dans tous les quartiers de la ville : pour notre part, nous avons élu domicile au "El Misti Hostel" à Botafogo. Ce quartier n'a pas d'intérêt touristique particulier, mais il est calme et bien placé (tous les bus et lignes de métro y passent) :) Par ailleurs, c'est un quartier peu cher. Quant à notre hostel il était simple mais propre et bien tenu : nous avons jeté notre dévolu sur un dortoir de 9 contenant 2 anglophones noctamburnes et un jeune brésilien très discret (les autres lits étant vides). Je n'ai pas fait de faute de frappe à hostel : c'est, en fait, une auberge de jeunesse où l'on peut dormir en chambre (simple ou double) ou en dortoir, on a accès à une cuisine et à un espace commun où l'on peut discuter et faire tout plein d'autres trucs (comme taper cet article par exemple) :) Mais revenons à nos moutons.
Ainsi nos sacs posés, nous voila donc parés pour affronter Rio de Janeiro la mythique !
Niveau visites, notre programme a été bien chargé.
Nous avons consacré une partie de notre premier jour à la visite du 'Centro'. Nous nous y sommes rendu en métro, assez moderne et bien entretenu. Notre promenade nous a permis de découvrir de nombreux monuments dont le magnifique théâtre, le cubique immeuble Petrobras, la très rococco église de Santo Antonio, perchée sur une butte au milieu des buildings, le Real Gabinete Português de Leitura où trônent pas moins de 350000 ouvrages en portugais, l'étrange cathédrale Metropolitana et le bohème escalier Selaron.
Nous filons ensuite prendre le téléphérique pour admirer le coucher de soleil sur Rio depuis le Pain de Sucre. C'est plutôt pas mal !
Le lendemain nous sommes allés voir de près le mythique « O Christo Redemptor » qui bien-veille sur Rio depuis sa montagne : la vue est moins impressionnante qu'au Pain de Sucre mais ça en impose quand même !
Nous avons ensuite filé prendre le chaotique tramway qui monte à Santa Teresa. Nous y avons rencontré Denilson et Marion, couple Brésilo-français, et un autre couple de brésiliens (qui trimballait avec eux et leur fils un correspondant américain ado-qui-fait-la-gueule-tout-le-temps). Ils nous ont proposé de les suivre. C'était agréable d'être accompagnés par des brésiliens qui connaissent le quartier : ils nous ont emmené dans des endroits où nous ne serions pas allés seuls (le LonelyPlanet nous dit de ne pas aller traîner n'importe où à la nuit tombée, et nous, pauvres petits baroudeurs débutants, l'écoutons de manière attentive. Bon, en même temps comme c'est l'hiver, les jours sont très courts et la nuit tombe tôt : vers 17h30). Nous avons bu une Caipirinha en terrasse où un groupe jouait de la Samba. Moment de détente agréable (oui, une des qualité de la Caipi est de bien vous détendre) :)
Nous avons entamé la journée du samedi avec la visite du jardin botanique puis nous avons longé le lagoa Rodrigo de Freitas, un lac où nous avons pu voir les fameux cygnes-pédalos (inspirés encore une fois par Delabatte, alias OSS 117 pour les connaisseurs...). Nous avons ensuite longé la plage d'Ipanéma. Elle est bordée de terrains de volley, de futevolley, et de plein d'équipements pour faire du sport. Voudrait-on nous faire croire que les cariocas sont sportifs ? Bon, sincèrement désolé mais je me sens obligé de casser ce mythe... Les cariocas ne sont pas tous (loin de là) des Apollons et des Vénus! Bon sinon, la plage est sympa... et bien protégée : la police y circule en quad et les résidences du quartier sont toutes barricadées et surveillées!
Notre dernier jour était consacré à la plage de Copacabana. Au programme : farniente, trempette et lecture (mon livre « L'Ombre du vent » est très bien mais du coup la fin va arriver beaucoup trop vite). J'ai acheté un paréo-drapeau du Brésil en guise de serviette de plage (c'est trop la mode ici).
Côté culinaire, la soirée pizza à l'auberge nous a laissés un peu barbouillés (c'est l'unique fois où notre estomac à toute épreuve nous a joué un tour minuscule... Chapeau, non?).
Nous avons découvert les salgados. Personnellement, j'adore ! Ce sont des beignets frits/tartelettes au fromage ou à la viande. C'est pas cher, bien gras et bourratif. (Qui a dit qu'on reviendrait mince et bronzés?)
A lagoa das Freitas, nous avons goûté le maïs bouilli entier que l'on grignote avec une sauce au beurre (comme dans les séries américaines). Nous y avons aussi dégusté un hot-dog très chargé : pain, saucisse, tomate, oignon, petit-pois, œufs de caille, raisin sec, maïs. Ça tient bien au corps...
Sur la plage, on a bu du coco gelado. C'est du lait de coco servi à même la noix avec 2 pailles : frais mais pas énormément de goût.
Pour terminer : la chapelure. On la mange apparemment ici comme un féculent. On en sert en bonne quantité avec la viande par exemple. Personnellement, je ne suis pas fan. C'est très sec et il n'y a pas beaucoup de sauce pour humidifier le tout :(
Voici maintenant un petit résumé de nos folles nuits cariocas.
Nous avons retrouvé Wolf (ami d'ami allemand, travaillant actuellement à Rio) et son amie Bebel (prononcer "Bébéou" - une carioca pure souche) à 2 pas de notre auberge pour aller à une soirée Festa Juninha. Cette fête traditionnelle se termine traditionnellement par un mariage (nous ne sommes pas restés assez tard pour le vérifier) et on y danse ce que j'appellerais la danse du tunnel (ressemblance très forte avec ce que l'on fait dans certains mariages : 2 par 2, les gens se tiennent les mains pour former un tunnel sous lequel passent d'autres personnes qui se placent ensuite au bout du tunnel pour le rallonger) et certains viennent déguisés plus ou moins en campagnards (les filles sont des campagnardes trèèès branchées! Et avec mes sandales, mon pantalon bouffant et mon T-shirt tortues d'Ilha Grande, j'ai l'air tâche... En même temps, dur d'être sexy quand on a toutes ses affaires sur son dos!). Bon, à part ces 3 points particuliers, ça ressemble comme 2 gouttes d'eau à une soirée étudiante mais avec une moyenne d'âge autour de 30 ans. Le lendemain, nous avons regardé avec Wolf, Bebel et quelques unes de leurs amies le match Brésil/Portugual dans un petit café de Laranjeiras (autre quartier de Rio).
Le samedi soir nous sommes allé à Lapa, quartier festif de Rio, pour tâter l'ambiance d'un club de Samba. Le "Democratico" nous avait été recommandé par l'auberge et nous y sommes arrivés vers 23h30 après avoir un peu tourné en rond. Nous avons payé moitié prix étant dans les 300 premiers arrivés ;) Oui, ça commence assez tard... La salle s'est remplie et l'orchestre a commencé à jouer vers minuit. Bon, l'ambiance n'est pas aussi folle que ce que nous nous imaginions mais on nous avait plutôt recommandé d'y aller le vendredi... Enfin bref, après avoir beaucoup observé nous nous sommes jeté à l'eau. Mais après quelques essais peu concluants de votre dévoué serviteur qui est un bien piètre danseur (encore plus avec des chaussures de rando) pour faire virevolter sa femme chérie, il s'est avoué vaincu et est sorti du ring.
Fin de notre épisode carioca. A bientôt pour de nouvelles aventures !!!
RIO PRATIQUE
Ferry Ilha Grande - Angra Dos Reis : 6,50 R$ à 10h -
Trajet : ~1h30 (Le guichet est dans la petite cahute à l'entrée du
ponton)
Bus Angra Dos Reis - Rio : 36 R$ - Trajet : ~3 h - Départ toutes les heures
La gare routière de Angra Dos Reis est à 20 min à pied du port. Il faut prendre la route à droite (celle qui longe le port et la plage) et rester toujours à droite (de l'autre côté, il n'y a pas de trottoirs)
La gare routière de Rio est dans un quartier pas super chouette. Il y a un point d'information où vous pouvez récupérer une carte de la ville et où on peut vous indiquer le numéro des bus pour se rendre à l'hôtel.
Ne pas hésiter à demander au chauffeur où à la personne qui est à la caisss de vous prévenir quand c'est le bon arrêt (il n'y a pas de carte des lignes ni de noms sur les arrêts) ou vous repérer sur votre carte car les noms de rues sont assez clairement indiqués.
Trajets de bus : de 2,35 R$ à 2,70 R$ pour le même confort (pourri) et trajet.
Ticket de métro : 2,80 R$ pour un trajet de métro simple
Métro + Bus jusqu'au pain de sucre : 3,60 R$
Pain de sucre : 22,00 R$ jusqu'à Morro da Urca (1er téléphérique) ou 44,00 R$ pour monter jusqu'en haut
Corcovado : Attention, suite à des pluies diluviennes il y a quelques mois, le train ne fonctionne plus. Il est donc nécessaire de prendre un taxi. Le prix annoncé est de 50 R$ par personne (entrée comprise). Nous étions 4 (avec une fille qui ne lâchait pas l'affaire) et nous avons payé 35R$ par personne (l'entrée seule étant de 16,70 R$). A l'aller, le taxi nous a déposé à l'entrée du parc où il fallait prendre une 2ième navette. On a pu resté le temps voulu là-haut puisque pour le retour, 2 navettes successives nous redescendaient.
Le Bonde ou Tramway pour Santa Teresa : 0,60 R$ - Trajet : 10 min (?) - Départ toutes les 1/2h ou 40 min.
Départ du tram, derrière l'immeuble cubique Pétrobas, non loin de la station de métro Carioca.
Il ne faut, apparemment, pas aller plus loin que le Largo do Guimarães (arrêt, évidemment non indiqué. Le 3ième, je crois...). Bar musical (concert live quand on y était) parfait pour siroter l'apéro juste en face de l'arrêt (dans une grande maison en haut d'une volée de marche). Restaus à thème dans le coin (non testés). Dernier tram à 20h (mais il n'est pas conseillé de rester plus longtemps dans le quartier, ni de redescendre à pied.)
Jardim Botanico : 5,00 R$ - possibilité de visite guidée en portugais ou anglais sur inscription dans la cahute avant l'entrée. Attendre à gauche après l'entrée. Visite seul en prenant son temps : 3h
Dortoir de 9 p. au "El Misti Hostel" de Botafogo : 29,00 ou 25,00 R$ / nuit (Si séjour de 5 jours, paiement en avance et en cash)
=> Bon rapport qualité prix : chambre minuscule avec lits superposés triples, caisse à cadenasser pour ranger les sacs sous le lit, excellent petit-dèj, possibilité de repas tous les soirs (sauf le dimanche?) pour 12,00 à 14,00 R$, espace commun sympa, ordis et Wifi, salles de bain communes (eau chaude)
Pour vos sorties en ville, il est demandé à ce que vous ayez une pièce d'idientité sur vous pour les contrôles de police. Une photocopie suffit.
Sinon, l'office du tourisme indiqué sur le plan n'en est pas un et ne sert à rien! VOus n'aurez rien de plus qu'à la gare routière...
PS: prix donnés par personne si pas d'indication inverse
Bus Angra Dos Reis - Rio : 36 R$ - Trajet : ~3 h - Départ toutes les heures
La gare routière de Angra Dos Reis est à 20 min à pied du port. Il faut prendre la route à droite (celle qui longe le port et la plage) et rester toujours à droite (de l'autre côté, il n'y a pas de trottoirs)
La gare routière de Rio est dans un quartier pas super chouette. Il y a un point d'information où vous pouvez récupérer une carte de la ville et où on peut vous indiquer le numéro des bus pour se rendre à l'hôtel.
Ne pas hésiter à demander au chauffeur où à la personne qui est à la caisss de vous prévenir quand c'est le bon arrêt (il n'y a pas de carte des lignes ni de noms sur les arrêts) ou vous repérer sur votre carte car les noms de rues sont assez clairement indiqués.
Trajets de bus : de 2,35 R$ à 2,70 R$ pour le même confort (pourri) et trajet.
Ticket de métro : 2,80 R$ pour un trajet de métro simple
Métro + Bus jusqu'au pain de sucre : 3,60 R$
Pain de sucre : 22,00 R$ jusqu'à Morro da Urca (1er téléphérique) ou 44,00 R$ pour monter jusqu'en haut
Corcovado : Attention, suite à des pluies diluviennes il y a quelques mois, le train ne fonctionne plus. Il est donc nécessaire de prendre un taxi. Le prix annoncé est de 50 R$ par personne (entrée comprise). Nous étions 4 (avec une fille qui ne lâchait pas l'affaire) et nous avons payé 35R$ par personne (l'entrée seule étant de 16,70 R$). A l'aller, le taxi nous a déposé à l'entrée du parc où il fallait prendre une 2ième navette. On a pu resté le temps voulu là-haut puisque pour le retour, 2 navettes successives nous redescendaient.
Le Bonde ou Tramway pour Santa Teresa : 0,60 R$ - Trajet : 10 min (?) - Départ toutes les 1/2h ou 40 min.
Départ du tram, derrière l'immeuble cubique Pétrobas, non loin de la station de métro Carioca.
Il ne faut, apparemment, pas aller plus loin que le Largo do Guimarães (arrêt, évidemment non indiqué. Le 3ième, je crois...). Bar musical (concert live quand on y était) parfait pour siroter l'apéro juste en face de l'arrêt (dans une grande maison en haut d'une volée de marche). Restaus à thème dans le coin (non testés). Dernier tram à 20h (mais il n'est pas conseillé de rester plus longtemps dans le quartier, ni de redescendre à pied.)
Jardim Botanico : 5,00 R$ - possibilité de visite guidée en portugais ou anglais sur inscription dans la cahute avant l'entrée. Attendre à gauche après l'entrée. Visite seul en prenant son temps : 3h
Dortoir de 9 p. au "El Misti Hostel" de Botafogo : 29,00 ou 25,00 R$ / nuit (Si séjour de 5 jours, paiement en avance et en cash)
=> Bon rapport qualité prix : chambre minuscule avec lits superposés triples, caisse à cadenasser pour ranger les sacs sous le lit, excellent petit-dèj, possibilité de repas tous les soirs (sauf le dimanche?) pour 12,00 à 14,00 R$, espace commun sympa, ordis et Wifi, salles de bain communes (eau chaude)
Pour vos sorties en ville, il est demandé à ce que vous ayez une pièce d'idientité sur vous pour les contrôles de police. Une photocopie suffit.
Sinon, l'office du tourisme indiqué sur le plan n'en est pas un et ne sert à rien! VOus n'aurez rien de plus qu'à la gare routière...
PS: prix donnés par personne si pas d'indication inverse